par Nitch » 24 Nov 2012 18:38
Les mecs vous vous marrez, ça papote, on discute tricot, faut pas vous plaindre de l'état de délabrement dans lequel se trouve votre forum, on se croirait dans un salon ... nous ne sommes pas là pour ça, faut faire avancer le débat, préparer les merguez la date fatidique approche, je voudrais surtout pas que la fiesta soit pas prête quand l'héritier de Django va prendre sa retraite.
T'as raison le bouzouki Mitch c'est un kador du style, il a la pêche et il attaque comme un malade, il a des plans plein les pognes, ses tatouages c'est pas "A Polo pour la vie !" c'est des antisèches en tablatures et en plus il bouffe du foie cru avant d'aller faire les boeufs, il prend une baguette, il l'ouvre salement en longueur (c'est quand même un crade de première) et il colle le foie encore saignant dedans, il badigeonne un pot d'Amora extra forte là-dessus, il écrase un peu le pain à cause de ses chicots instables et allons y gaiement. Il paraît que, blindé de la sorte (il s'essuie même pas avant de jouer ça dégouline encore et il gagne en vitesse), il a collé une raclée à Debarre sur un truc rapide et qu'Angelo, pour une fois mauvais joueur, lui a dit : "JE VOIS QUE T'AS LA PECHE ET AVEC LA POIRE QUE TU TE TRAINES CA VA TE FAIRE UNE SACREE SALADE DE FRUITS".
Strab le truc des 84% c'est rien de grave : ici c'est comme en corse même les morts vont venir voter il y a comme qui dirait une sinergie qui tôt ou tard portera ses fruits, le Vieux va venir avec d'autres mecs de son hospice, Poltreze ramène un car de Marseille, Dugenoux rapplique aussi, enfin bref les retrouvailles...
Padrig tu devrais écrire tes histoires je pense que ça ferait un excellent bouquin, si l'imagination te faisait défaut tu pourras raconter dans les détails la vengeance de Didguitare ! ça faisait des années que je couvais ça et maintenant que vous vous êtes ramolis en l'absence de Chris ah putain ça va saigner !
« Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien, Quand même tu devrais n'en savoir jamais rien, S'il se pouvait, parfois, que de loin j’entendisse Rire un peu le bonheur né de mon sacrifice ! »