AllezAlainRockOn a écrit:Que dire avec une buse suçant une cornemuse ?
En use et en abuse, piètre amusante muse. Humz ?
----
Je mate UFC en faisant écho à tes conneries
oui fais donc un tour gadjo chapeau pendant ce temps là.
( conseil théorique: tiens le bien haut )
Jean Du Voyage a écrit:on sent que tu comptes tes pieds sur tes doigts
Pour s'imaginer que Jean du Voyage et Aimé Jacques sont la même personne, faut vraiment avoir de sacrées œillères! Mais je ne déteste pas le football, hein, Aimé, ça n'a rien à voir.![]()
Koké Moun a écrit::lol:
Excellent, Jean D. V.
Grand Malade, sors de ce corps.
Jean Du Voyage a écrit:A tout seigneur on doit, dit-on, tous les honneurs
Et c'est pour cela que je gardai la primeur
A l'immense Linlin, que je tiens en mon cœur.
Mais il n'est pas le seul a nourrir la rancœur :
-------------------------------------------------------------
Il est, delà du Rhin, une autre créature
Que je croisai au loin, lors de mes aventures.
Son nom ? Il en a plein ! (Quelle imagination !)
Il se voulait frappé d'une persécution
Et pavanait, drapé des oripeaux de Sion
D'ou dépassait, infâme, un morceau de son fion.
C'était un charlatan, un escroc infernal
Tantot nommé Nathan, tantôt surnommé Natzl
Ou tantôt Soidafer, quel nom original !
Et j'en oublie des tas, la liste est colossale.
Il s'inventait des vies, des enfants, des amis
Invectivait au choix celui-là, celui-ci.
Il prétendait jouer comme Paganini
Du violon, et puis de la guitare aussi.
Mais cela n'est pas tout, car cet olibrius
Prétendait avoir, là, dans la Chope des Puces
Découvert l'infectieux jazz, pire qu'un virus
A l'âge ou il avait encore son prépuce !
Il pérorait sans cesse mais nul ne l'entendit
Jamais faire autre chose qu'une espèce de bruit.
Il avait, disait-il, connu tous les Sinti
Qui résidaient aux abords de la Teutonie
Et il parlait, parlait, insultait, insinuait,
Comportement sinistre, caractère soupe-au-lait :
" Ce que tu ne sais pas, idiot, je le connais !
Tu n'es qu'un mécréant, moi je suis vrai de vrai !
Ce que tu joues si mal, Moi, je joue d'un seul doigt
Et si tu dis "Hallal", j'appelle la Licra !
De ton propos banal je fais une Fatwa
Je te dénoncerai, suppôt du Hezbollah!"
Ah, ce qu'il balançait, en messages privés !
"Untel m'a dit ceci, l'autre m'a insulté
Et encore celui-ci, hier, m'a menacé !"
Chaque jour lui venait une vilaine idée.
Il faut le reconnaitre, notre homme est un malin
(sans commune mesure avec le pauvre Alain)
Il tutoie Betelgeuze du coucher au matin
L'œil dans un téléscope, et le chibre à la main.
Mais science sans conscience, est dégénérescence
Et plus que ses lumières, recherchons son absence.
Ô mon pauvre Nathan, que n'as tu de l'enfance
Gardé la gentillesse et chéri l'insouciance ?
Et que n'as tu, au lieu d'exceller au trollage
Occupé tes vieux jours a des jeux de ton âge
Plutôt que te complaire en de vils commérages ?
Tu te prétends heureux, las, tu mourras de rage.
Ha bon, okay c'est cool alorsre-ps:Alain mon ami,je me réfère souvent à toi parce que je t aime bien.
la bise.
Jean Du Voyage a écrit:A tout seigneur on doit, dit-on, tous les honneurs
Et c'est pour cela que je gardai la primeur (gardais peut-être ?)
A l'immense Linlin, que je tiens en mon cœur.
Mais il n'est pas le seul a nourrir la rancœur :
(des rancœurs à la limite. Oublie les penchants Marseillais
si tu désires te hisser au statut "d' immense " ce dont, bien entendu, je remercie )
-------------------------------------------------------------
Il est, delà du Rhin, une autre créature
( " Mais par delà le Rhin, une autre créature" : ça t'évitera un barbarisme )
Que je croisai au loin, lors de mes aventures. ( bien, ici on acceptera le passé simple )
Son nom ? Il en a plein ! (Quelle imagination !)
pas mal: évite fois deux le point d'exclamation pour faire tomber le ton.
Il se voulait frappé d'une persécution
Et pavanait, drapé des oripeaux de Sion
( inverser ces deux phrases ne nuirait pas à un soupçon d' élégance pour le "style". Tu habilles ton personnage, ensuite seulement tu dis pourquoi son accoutrement : maintenir ton lecteur en haleine dans une pensée organisée préliminaires puis jouissance: dans le bon ordre )
Il pavanait drapé, des oripeaux de Sion
Et (Il) se voulait frappé d'une persécution
D'ou dépassait, infâme, un morceau de son fion. (un morceau c'est banal, l'esquisse, un quartier...une pièce un "en cas " (mdr) etc )
C'était un charlatan, un escroc infernal (escroc et infernal je le sens pas c'est pas pointu, vois-tu...)
Tantot nommé Nathan, tantôt surnommé Natzl
Ou tantôt Soidafer, quel nom original !
( trois fois Tantôt : non, préfère "ou alors" anti-monotonie que pourtant tu chéries)
Et j'en oublie des tas, la liste est colossale. (
"et j'en n'oublie des tas..." on tombe encore dans l' ordinaire sans compter
qu' un tas nenni ne s' énumère entre ta liste et tas: il te faudra choisir
Je propose "Pardonnez mes oublis, la liste est colossale".
Il s'inventait des vies, des enfants, des amis
Invectivait au choix celui-là, celui-ci.
Il prétendait jouer comme Paganini
( "jouer comme Pa" accroche en mode poussif l'oreille : "à la Paganini " est bien plus lyrique et joli )
Du violon, et puis de la guitare aussi. (lourd aussi avec ce "et puis" (épuisant) compté sur tes doigts de pieds...)
Mais cela n'est pas tout, car cet olibrius
Prétendait avoir, là, dans la Chope des Puces
Découvert l'infectieux jazz, pire qu'un virus
(hum...le compte n'est pas bien bon ne serais tu pas amputé des pieds ? )
A l'âge ou il avait encore son prépuce !
(idem à moins que tu prononces en core rheuh son prépuce,
ce qui aurait été marrant, pour changer la rengaine)
Il pérorait sans cesse mais nul ne l'entendit
Jamais faire autre chose qu'une espèce de bruit.
Il avait, disait-il, connu tous les Sinti
Qui résidaient aux abords de la Teutonie ( qui qui qui... hideux..)
Résidant aux abords du pays Teutonique: tu vois un truc comme ça, un peu rusé quoi...![]()
Et il parlait, parlait, insultait, insinuait,
(mais non pas deux fois parlait, désolé, ça ne sert pas plus l' idée de logorrhée, ça fait juste pauvre en vocabulaire)
Comportement sinistre, caractère soupe-au-lait :
" Ce que tu ne sais pas, idiot, je le connais ! (je le connais ou je te connais ? c'est pas clair)
Tu n'es qu'un mécréant, moi je suis vrai de vrai ! (qui est le vrai des deux ? pfiou...)
Ce que tu joues si mal, Moi, je joue d'un seul doigt (remplace "moi je" par "je le" : bien plus fluide)
Et si tu dis "Hallal", j'appelle la Licra ! (et si j'entends Halal, je hurle à la Licra ! mieux non ? )
De ton propos banal je fais une Fatwa (ferai une Fatwa accorde tes temps avec souplesse... petit )
Je te dénoncerai, suppôt du Hezbollah!"
Ah, ce qu'il balançait, en messages privés !
"Untel m'a dit ceci, l'autre m'a insulté
Et encore celui-ci, hier, m'a menacé !"
Chaque jour lui venait une vilaine idée. ensemble correct
Il faut le reconnaitre, notre homme est un malin
(sans commune mesure avec le pauvre Alain) oui bien sûr...
Il tutoie Betelgeuze du coucher au matin
L'œil dans un téléscope, et le chibre à la main. (l 'œil sur un télescope,
ça fait moins mec n'ayant jamais touché l'ombre d'un outil ou moins subitement Tex Avery, ce qui n'est pas ton genre...
si on est sûr d'une chose, c'est ça )
Mais science sans conscience, est dégénérescence (n'est que ruine de l'âme)
Et plus que ses lumières, recherchons son absence.
( et là tu mets "recherchons la banane"... pour la rime: ce qui aussi clair )
Ô mon pauvre Nathan, que n'as tu de l'enfance
Gardé la gentillesse et chéri l'insouciance ?
(pas mal... deux phrases avec un poil d'humanité transparaissant chez toi dont
on eut fort aimé que tu t'appliquasses (outrepassant tes psycho projections) : à en faire ton adage .
"Ah ou  mon pauvre Nathan" moins romain ampoulé (pas romano en poulet hein)
plus original, contemporain. Pas grave..." )
Et que n'as tu, au lieu d'exceller au trollage (grave lourd)
Occupé tes vieux jours a des jeux de ton âge
Plutôt que te complaire en de vils commérages ?
Tu te prétends heureux, las, tu mourras de rage.
( Cette méchanceté auto-protectrice comme moteur prosaïque,
reste problématique: elle réduit à peau de chagrin le champ possible de tes inspirations)
pfeuh a écrit:Yo,Jean Du Voyage a écrit:on sent que tu comptes tes pieds sur tes doigts
Enorme!![]()
Pour s'imaginer que Jean du Voyage et Aimé Jacques sont la même personne, faut vraiment avoir de sacrées œillères! Mais je ne déteste pas le football, hein, Aimé, ça n'a rien à voir.![]()
A+
Pfeuh
Aimé-Jacques Hulé a écrit:Laisses les s'imaginer des trucs, t'es pas sympa. Qu'on me confonde avec Jean. Je passe d'un coup au statut de poète. Un truc que j'ai jamais pu. Pour le coup t'es quand même un peu rabat joie.
Utilisateur(s) parcourant actuellement ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 18 invité(s)