
trop c.... vive le blues Joel.

Minor Swing c' est un blues ... tu comprends ? un bluesssssseeeee...mmm...slurp ! trop cool.
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Merde, j'ai ouvert mon réal book old one 1
(pour la première fois de ma vie, évidement, savatte sans dire)...
suis tombé sur All blues
hum... sois sérieux... un autre page peut être ...
blue bossa ? ... in a sentimental blues ?... non plus..
blues for alice ? tssss nan.... mettent du bleu partout aussi ces ignorants... mais vous auriez pas pu consulter
joel avant d' écrire ce bouquin de merde bande de chacaux...
Blue In Green Blue Monk Blue Seven Blue Silver Blue Spirits Blue Trane Blue Tuesday
Bluebird Blues A la Mode Blues Backstage Blues by Five Blues Connotation
Blues For Philly JoeBlues for Wood Blues for Yna Yna Blues in the Closet Blues on the Corner
Bluesette ? nan....
Cool Blues ,Five-Oh-Two Blues,La Nevada Blues, Neal's Blues, Senor Blues,Sing Me Softly of the Blues,Some Other Blues,St. Louis Blues, Wall-Eye Blues,West Coast Blues, non plus bon....
Pis si ça se trouve 'est pas des blues et les autres en sont...
Bien....au delà de ces petits jeux "à la Joel" : explications de texte >
Le Jazz blues est un style musical qui combine le jazz et le blues.
Le terme renvoie aussi à tout air de musique basé sur les 12 mesures typiques du blues, tout en étant joué dans un style inspiré du jazz, plutôt que du style blues traditionnel. Le blues a eu une influence capitale sur le développement du jazz, et les airs de "jazz blues" sont
extrêmement courants dans le répertoire jazz. D'ailleurs, en dehors des 12 mesures du blues, l
es musiciens de jazz empruntent de nombreuses autres techniques stylistiques du blues, comme
la blue note,
le phrasé des mélodies blues, et les riffs de blues.Par rapport au blues traditionnel, le jazz blues repose sur un traitement plus sophistiqué ou, à tout le moins, différent dans les harmonies,
mais la progression sur la base des 12 mesures standards reste perceptible. Pour les musiciens de jazz, l'une des principales manières de jouer dans ce style est de substituer un accord : un accord est remplacé par un ou plusieurs autres, qui ont la même tonalité générale, mais dans une couleur différente.
Le blues est un style musical vocal et instrumental, dérivé des chants de travail des populations afro-américaines apparues aux États-Unis courant xixe siècle. C'est un style où le (la) chanteur(euse) exprime sa tristesse et ses déboires (d'où l'expression « avoir le blues »). Le blues a eu une influence majeure sur la musique populaire américaine,
puisqu'il est à la source du jazz, du rhythm and blues, du rock and roll
Dans le jazz, le 12 bar blues progressions sont développées avec des substitutions en mouvement et les variations accords. La cadence (ou quatre dernières mesures) conduit uniquement à la racine par des intervalles de quartes parfaites.
De base de progression jazz blues
I7 IV7 IVdim I7 VM7 I7
IV7 IVdim I7 III7 VI7
IIm7 V7 III7 VI7 II7 V7
Le blues Bebop >
I7 IV7 I7 v7 ( I7)
IV7 ♯ IV o 7 I7 V / II ♭ 9
II7 V7 I7 V / II ♭ 9 II7 V7----------------------------------------------------
http://www.jazzinamerica.org/pdf/1/Infl ... 0Blues.pdfBon c'est pas Alain qui parle c' est Jazz in AmericaThe Thelonious Monk Institute of Jazz (des branleurs quoi....

)
( vous traduirez mieux ok, j'ai pas le temp )
L'influence du blues sur Jazz
Le blues et le jazz ont beaucoup en commun, de leurs origines dans les communautés afro-américaines du
sud des États-Unis au début du 20e siècle siècle, à leur diffusion, à travers le développement puis- supports d'enregistrements sonores et émissions de radio, nationales et formes d'art internationaux.
Le blues et le jazz ont de multiples définitions qui vont parfois delà de la musique et parlent du processus
et des points de vue qui donnent à ces formes vénérées l' art musical pertinence aujourd'hui.
Du point de vue de la structure musicale, le jazz dont on sait sais qu'il n'existerait pas sans le blues.
Les douze mesures des accords du blues , avec ses structures harmoniques familières
et sa forme narrative, a été le plus simple modèle populaire pour l'improvisation jazz du début,
aussi compact mais profonde à sa manière comme le sonnet prouvé
soit dans le domaine de la poésie. Les Géants de l'enfance du jazz naissant,
comme Jelly Roll Morton, King Oliver et Louis Armstrong utilisent les chansons
du blues comme le fondement à plusieurs de leurs plus importantes créations , tandis que Duke Ellington,
en dépit d'un demi-siècle, de composition qui l'ont conduit à écrire des suites étendues et des programmes de musique sacrée, continué à employer le blues comme le modèle primaire dans son arsenal.
Comme les musiciens de jazz et le jazz a évolué, appliqué des idées plus sophistiquées de rythme et d' harmonie, le blues est resté une constante, la base de ces enregistrements influents comme Count Basie "One O'ClockJump "dans les années 30, de Thelonious Monk «Misterioso» dans les années 40, Miles Davis "Walkin '" dans les 50 et Herbie Hancock "Watermelon Man" dans les 60.
Dès le début, le blues fréquemment dévié de ses douze mesures strictes, et le jazz lui aussi
affiche une volonté de plier le blues à son propre environnement.
Parfois, cela signifie un ajustement de structure, comme lorsque Ellington élabore la forme dans de telles
compositions comme «L'Mooche» ou «Mood Indigo», ou lorsque Miles Davis substituts les gammes pour les accords dans All Blues. "Encore plus fréquemment, ce qui est en cause est l'application de la note bleue dans une gamme ou le blues phrasé à la non-blues matériel. Billie Holiday, rarement
chanté des chansons traditionnelles du blues, mais effectuées chaque ballade avec
Blues sentiment. Charlie Parker, dont les performances de «Lady, Be Good" avec Jazz at the Philharmonic, est un exemple classique de tournure d' un blues en chanson pop.Ces exemples peuvent être l'ultime de improvisateurs imprégnée dans un halo de blues. Pourtant, la même chose pourrait
être dite au sujet de tels radicaux supposés comme Ornette Coleman, qui conserve l'authenticité brute d'un
Robert Johnson dans l'ensemble de ses solos de saxophone alto, ou John Coltrane, qui a construit son chef-d'oeuvre «Un Amour Suprême "sur un riff de blues base pas que loin de celui qui sous-tend Willie Dixon "Septième Fils ».
L'interaction entre ces blues considérés et le jazz musiciens, respectivement, a également été un
constante. Mamie Smith, le chanteur de blues premier à atteindre la popularité grâce à des enregistrements, le jazz, employés saxophone ténor Coleman Hawkins, pionnier dans son groupe. Bessie
Smith, le plus grand des artistes de blues au début, en vedette un jeune Louis Armstrong sur certains des plus beaux enregistrements. Count Basie, qui une fois définit le jazz >rien de plus que balancer le blues, le blues en vedette shouter Jimmy Rushing dans son premier groupe, et reçu une impulsion majeure à son retour 20 ans plus tardde la stylings Blues plus contemporain de Joe Williams. Big band de Lionel Hampton dans les années 1940 introduit le blues Dinah Washington et grands faits frappé dossiers, y compris «Woogie Boogie Hamp» et «Hey! Ba-Ba-Re-Bop "qui a aidé le rythme de lancement et blues. R & B, puis de roche engendra and roll, qui a finalement nourri le mouvement de fusion dans le jazz, tout comme la "soul"
de jazz de modernistes tels que Horace Silver et Bobby Timmons a eu son impact à travers le funk le plus
blues contemporain.
2
Avec le passage du temps, et comme tant le blues et le jazz continuer à évoluer, la connexion reste
ininterrompue. Deux des ensembles de jazz d'aujourd'hui leader, le World Saxophone Quartet et le Big Mingus
Band, ont lié le blues et la politique en dernier album titres. Steve Coleman, Greg Osby, Cassandra
Wilson et d'autres musiciens associés au M-BaseCollectif des années 1980 et début 1990 ont
conservé un accent de blues basé tout en intégrant d'autres éléments dans leurs conceptions personnelles. Diana Krall, Joshua Redman et d'autres stars du jazz des jeunes de la journée reste
jouer le blues, comme tout jeune musicien qui étudie le jazz au lycée et des cours au collège
à travers le monde. Le lien entre le blues et le jazz n'a été renforcé par les nombreux
connotations au-delà des définitions musicales de ces deux formes d'art. Quand nous regardons le blues comme une attitude de face aux incertitudes de l'existence avec une nette vision, un sens de l'humour et un esprit de résilience, et lorsque nous voyons le jazz comme un processus visant à assurer
significative et spontanée la création collective, il devient encore plus clair que le blues et le jazz ne
se renforcent mutuellement.
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Apprend à mettre les formes Joel. Tu connais pas mal l' harmonie, j'en suis certain.
Possiblement tu joues peut être pas mal également .
Mais tout ça, j en ai rien à foutre: Tu n'en reste pas moins pour autant un sacré petit
prétentieux mal " dégormé ", pas con, surement mais qui doit souvent péter plus haut
que sa petite embouchure. A part ça t'es pas méchant non plus...
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