Menilmontant a écrit:on ne les envoie pas non plus dans des camp de concertation!!
titimaz a écrit:Menilmontant a écrit:on ne les envoie pas non plus dans des camp de concertation!!![]()
Ah, non, ça c'est sur blabla généralisé !
djangolrenard a écrit:Menilmontant a écrit:on ne les envoie pas non plus dans des camp de concertation!!
Timshel a écrit:Dans quelques mois il restera plus rien de tout ça, à part la honte et la réputation de la france de pays de chauvin raciste populiste. Sarkozy, malgré qu'il ait été élu à un poste où il est censé fédérer le pays qu'il gouverne, divise, provoque, et salit l'image de son propre pays.
Menilmontant a écrit:VIVE LES ROMS, LES ARABES, LES NOIRS, LES CHINOIS, LES MALGACHE, LES JUIFS, LES HOMOS, LES GENS QUI SOUFRE VIVE l'EUROPE ET NIQUE LA FRANCE ET LES RICHES
pour que un peuple étrangé s'intègre dans un pays il faut que celui ci ai un but commun avec les francais ...
Menilmontant a écrit:LA LUTE CONTRE LE FACHISME EST UNE ESCROQUERIE (lionel jospin)
- Schopenhauer, Dialectique de l'éristique -
(...) Stratagème 1 :
L'extension : étirer l'affirmation au-delà de ses limites naturelles, l'interpréter de la façon la plus générale possible, la prendre au sens le plus large possible et l'exagérer. (...)
Stratagème 2 :
Utiliser l'homonymie pour étendre également l'affirmation à ce qui, à part le même mot, n'a pas grand-chose ou rien du tout en commun avec l'objet du débat, puis réfuter de façon lumineuse et se donner aussi l'air d'avoir réfuté l'affirmation elle-même.[/i] (...)
Stratagème 8 :
Mettre l'adversaire en colère, car dans sa fureur il est hors d'état de porter un jugement correct et de percevoir son intérêt. (...)
Stratagème 29
Si l'on se rend compte que l'on va être battu, il faut faire une diversion, c'est à dire qu'on se met tout d'un coup à parler de tout autre chose comme si cela faisait partie du sujet débattu et était un argument contre l'adversaire. (...)
Stratagème 30 :
Au lieu de faire appel à des raisons, il faut se servir d'autorité reconnues en la matière selon le degré des connaissances de l'adversaire. Unusquisque mavult credere quam judicare (chacun préfère croire que juger), a dit Seneque : on a donc beau jeu si l'on a de son côté une autorité respectée par l'adversaire. (...)
Ultime stratagème :
Si l'on s'aperçoit que l'adversaire est supérieur et que l'on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeant, blessants, et grossiers. (.. s'en suivent plusieurs pages que je vous épargne) (...)
Et juste parce que je repense à Xavier Bertrand, Lefebvre et consorts en le lisant :
Stratagème 13 :
Pour faire en sorte qu'il accepte une thèse, nous devons lui présenter le contraire et lui laisser le choix : mais nous devons énoncer ce contraire de façon si violente que l'adversaire, s'il ne veut pas cultiver l'art du paradoxe, est obligé d'approuver notre thèse, qui, en comparaison, paraît tout à fait probable.
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