Il m’a alors vanté les mérites de la rectalité, je sais pas si on dit bien comme ça, d’un manche. Le plaisir de poser ses mains sur un engin bien calibré, sans défaut, bien poncé.
Pour en tirer toute l’essence pas besoin de petite bouche m’a-t-il assuré, mais ad minima l’obligation d’avoir de bonnes esgourdes, pour en apprécier les râles de plaisir.
De la chaleur moite de cet endroit est alors sortie, de son imagination et surtout de ses mains, l’engin que voici, que je me félicite et je ne me lasse pas de le noter, d’avoir en pogne.
Gros son, chaleureux, un manche fait pour mes petites mains manucurées, une esthétique qui ravit mon sens aigüe de cette dernière.
Sous ses dehors réservé et humble, l'artiste veille, faisons lui place





