avec quelle colle ?).
Toujours Olivier → Cyanolite: pas de quartier.
parce que sec, c'est dur et ça transmet bien.
(la matière de la colle, hors mis sa dureté joue un rôle dérisoire, j'ai demandé ça aussi et j'ai confiance totale)
Je l'ai déjà dit ailleurs, pour mon cas, Olivier ( Marin) préfère l' adaptation quand cela est possible d'un chevalet qui a vécu, bien sec, plutôt que d'en fabriquer et installer un neuf.
( option perso: pas obligé de coller les cales non plus > ça ne bouge pas, sauf quand on change ses cordes, juste faire gaffe de les replacer comme elles ont travaillé) Épouser la courbure de la table vu les petites surfaces en jeu (allez...1cm2 x2), je sais pas trop.Tu risques pas mal de déformer les surfaces d'origine de contact table-chevalet si tu touches à ça
parce qu'en amateur t'as aucune référence pour vérifier ce que tu fais sur cette "large tangente", (d'autant qu'il y a souvent un effet
naturel d'hyper léger affaissement imperceptible (vers un lieu + plat) du cintrage de la table à cet endroit précis de pression qui se stabilise avec les ans. Les cales (plus fraîches) s'écrasent sous la pression et leur bois se place en parfait contact sur le chevalet et la table, à mon avis.
Boris... attaquer depuis le haut oui mais en usant strictement par les flancs....
(comme une pyramide qu'on descendrait en altitude sans en changer la forme quoi )
on respecte ainsi l'angle et les épaisseurs progressives de son chevalet.
pleine bille c'est la bourde: logique.
rocohindro les luthiers sont souvent dispos et passionnés, pour un petit conseil avisé.
Un coup de fil ne mange pas de pain pour se faire une bonne idée avant bricolage.