Guitare Jazz Manouche

Hello
j en ai parle dans un sujet precedent, j essaye de creer une serie d articles pour contextualiser les concerts de Django et comprendre comment ils etaient percus à l'époque.
Le premier article concerne le concert de lancement du nouveau quintette au "cinema" Normandie. Rien que ca, deja: dans les bios, on lit toujours: Concerts au cinema Normandie. Mais a ce moment la, le Normandie tenait plus du music hall que du cinema.
Je vous laisse lire cet article et me dire ce que vous en pensez.

Article Concert Normandie

PS. A ecouter avec Nuages, Rythme futur ou blues 1940 dans les oreilles!

Super Paps !!! on s'y croirait, beau travail !

C'est un vrai régal cette base de données "Reinhartienne" que tu constitues Pierre!!!!
on peut vivre sans passion, mais tellement moins bien!!!

Merci les gars, ca fait plaisir! Et Groucho, je te remercie doublement puisque je me suis servi de ce que tu nous as deja propose sur d autres concerts (Nice, Alger) pour batir la trame et guider les recherches.

Très beau trvail.
merci encore d'ici bàs.

Superbe! on s'y croirait c'est vrai!!!

Très gros et beau boulot, bravo!! J'en ai lu une partie seulement mais me réjouis de lire la suite.
On sent la patte de Groucho, ce souci du moindre détail C'est du travail de détective, à ce niveau-là!

Merci pour vos retours. Et encore Gatsby, j ai du m arreter mais il y a des petites questions que j ai pas pu resoudre avec les docs que j avais a distance.
Pour ceux que ca interesse, il y a les archives de l occupation conservees a Pierrefitte sur Seine, ligne 13 terminus en banlieue parisienne. Il y a toute une section dediee a la reglementation des cabarets, programmes des theatres etc. Il y a surement des docs tres interessants a extraire de ces boites... mais je suis plus sur Paris...

Beau travail, on est du voyage, et puis ton site est stylé, sobre et clair à naviguer.

Pour précision sur la SOGEC dont tu mentionnes que le Normandy était affilié à son réseau de distribution, elle fut mise en place sous l’occupation - ainsi que CONTINENTAL FILMS, société de production de films-,par Joseph Goebbels, ministre de la propagande du reich (« J'ai donné des directives très claires pour que les Français ne produisent que des films légers, vides et, si possible, stupides. Je pense qu'ils s'en contenteront.»), qui nomma à leur tête Alfred Greven, un allemand également ami de Goering.
Et malgré tout, Greven, finalement francophile et cinéphile plus qu’idéologue dévia copieusement du « cahier des charges" imposé par Goebbels, et des films produits sous sa tutelle ne reflétèrent pas les visées propagandistes de Goebbels et furent de grands succès auprès du public français.
Le noir et blanc était l’apanage du cinéma, mais pas de l’époque…

http://cinejerome.over-blog.com/article ... 55879.html

https://www.telerama.fr/cinema/alfred-g ... ,56353.php

Génial ! Très instructif, merci Paps !!