On oublie toujours que Django (seul pour ainsi dire) a fait naître ce style de jazz de toutes pièces
Vouloir "jouer comme lui " serait disposer de son âme. On est dans son cadre, si on crée un peu dans
ce cadre c'est parfait. Si on sort des prérequis de ce cadre, on est déjà dans un autre jazz.
On aime le cocon de ce cadre... c'est ça le truc, c'est comme la douce croix de jésus quoi....
Alors s'en inspirer, en extraire de son esprit des pistes musicales, pour ceux qui y parviennent
un peu ( rares: les vraiment proches du trip) ou même comprendre comment il (et ils) fonctionnait dans un plaisir
d'écoute éclairé: est merveilleux.
Ceci dit, ce qui fait la force de la musique de Django, c'est moins sa virtuosité que son extraordinaire musicalité: on a l'impression que toutes les notes qu'il joue sont nécessaires, y compris ses silences, et qu'elles racontent une histoire.
Strike pa_t !

(de plus c'était un virtuose multidirectionnel maximal, ce qui lui donnait une disponibilité (une marge) abyssale pour raconter )
La "virtuosité" on peut aussi penser que c'est la faculté de créer, du reste.