Guitare Jazz Manouche

Beau spectacle ! Superbes images en fond sur écran géant, Biréli a envoyé la sauce comme d'hab (argh, il est vraiment grave)... Mais avec 15 musiciens sur scene et toutes ces images, il faudrait le voir plusieurs fois pour ne rien louper... Sauf qu'avec ces salopiots d'improvisateurs ça sera pas deux fois pareil.

(Petite mention spéciale, il y a le fameux film "J'attendrai" du hot club projeté en entier sur l'écran pendant que la scène est dans le noir... on voyait tous les musiciens retournés pour regarder et écouter - encore ! - le Maître, un beau moment, et la salle a applaudi Django et Stéphane comme les héros de la soirée ! ) Wheeeeeee !

C'est à qui les grands yeux noirs derriere ?





Eh oui, c'est au Patron !


Et vas-y ma cousine !


Avec Django : Vers l'infini et au dela !


Juste dehors, l'affiche de l'expo... ça promet !


Edit : deux de plus


et Hopla ! Le top du top.


On y retourne demain !!! Mitch ?

Super Mario Maccaferri a écrit:Biréli a envoyé la sauce comme d'hab

Stochelo s'est bien donné aussi !

Cà a dû être une très belle soirée.

Par contre, pour cette occasion, les tshirts c'est moyen .. des chemises auraient été plus de rigueur.. enfin je dis çà ..


pouet

C’est toujours le même Djangodrom que l’année dernière ou ça vaut le coup de le voir une 2e fois (en dehors des chorus qui change à chaque fois)

ça doit être le meme, Ju, j'ai pas vu celui de l'an dernier en live mais à peu de choses pres c'est Idem je pense... Pas de Marseillaise cette fois ci, par contre.

Et Davido, les photos en tee shirt c'est pendant la répète. Pour le concert ils sont tous en noir.

Tiens d'ailleurs, à propos de Tee Shirts...


Caravan Skate Shop :


celui la je l'adore :



et Djangoshirts :




Sans oublier bien sûr que Djangoshirts fait aussi les tee shirts de Patrus, et...

Super Mario Maccaferri a écrit:
Et Davido, les photos en tee shirt c'est pendant la répète. Pour le concert ils sont tous en noir.

ah ok!

Et bien j'y étais hier soir !

Franchement 75 % du spectacle est super, l'intro en danse, Lockwood qui rentre en jouant depuis le public, puis la clarinette virtuose de Flroin Gugulica font une superbe entrée en matière.Cà démarre bien.

Des premiers morceaux qui m'ont ému, avec le souvenir et les images de Django...

Des images de roms défilent, des dessins...

Puis arrive Jean-Marie Ecay un peu comme un cheveu sur la soupe avec sa guitare américaine pour faire un blues franchement hors de propos avec Lockwood et Hono+Diego qui s'emmerdent ferme.

Lockwood a un son de violon absolument atroce, sourd. Peut-être que çà lui plaît mais c'est vraiment laid et anti-musical. Au prix où on paye les places (38 € au 2e balcon !) on a le droit d'avoir un bon son. Et là pour ce blues il met de la wah-wah du plus grand mauvais goût, vraiment ridicule. Cà sent vraiment le plan "vampirisation" du genre "attendez je ferais mon blues en ramenant mon pote".
J'ai rien contre Ecay que je respecte en tant que musicien mais avec Bireli sur scène quel intérêt ?..

En tout cas ce blues casse complètement le trip du specatcle qui démarre très bien et c'est dommage.

Ensuite çà enchaîne sur un Djangology au tempo trop lent et mou du genou. voilà deux morceaux qui ne servent à rien.

Puis Norig et Seb arrivent, on repart dans le voyage, la magie. Seb chorusse après les champions sur "Daphné"
Fiona arrive, excellent solo et très beau son pour Minor Swing, les yeux noirs, les valseuses (encore une marotte de Lockwood)...
Puis Belleville, excellent et j'en oublie peut-être.
Au passage déboulent Adrien Moignard, Benoît Convert pour de courtes interventions puis David Gastine et Ghali. On se demande quel est l'intérêt d'avoir 8 guitares sur scène, franchement (?) il y a déjà les meilleurs solistes et le meilleur pompiste (Hono). Ma remarque ne porte pas sur les guitaristes eux-mêmes mais sur leur nombre.

On aura droit à "Si tu Savais", "Sweet Georgia Brown", "Double jeu" (hot !), "For Sephora" (superbe)...

Et on finit avec une version du Boléro de Ravel électrisante grâce à un arrangement superbe de Lockwood, là il faut le reconnaître. Ajoutons tout de même que l'homme est un virtuose et n'a pas fait une seule fausse note dans tout le show.

Voilà on aurait aimé une photo de Grappelli seul durant la durée du spectacle et un son de qualité car le suivi de volume des solistes n'était pas bon : Stochelo souvent aux fraises (il n'était pas applaudi à sa juste valeur comparé à Bibi ou Fiona), Convert avait un son horrible...

Lockwod lui par contre on l'entend toujours bien... J'ai rien contre lui mais là il y avait des choses trop évidentes.

Enfin voilà il y a de vrais moments de grâce : la clarinette de Florin est superbe tout comme l'accordéon d'Emil Dragoï, confondant de virtuosité.

Bireli est le boss, y'a rien à faire même des nons spécialistes m'accompagnant ont apprécié son touché et son style.

C'était la dernière de ce spectacle nous a anoncé un Tony Gatlif qui a ensuite présenté les musiciens en criant comme un ouf (?)

Merci Mario pour les belles photos et Mitch pour le compte-rendu !

Mario, deux questions :

- T'as pris ces photos avec un polaroïde?

- Sur quelle guitare le sire Lagrène joue-t-il?

Ciao

Merci à vous de ce partage...

Mitch a écrit:Et bien j'y étais hier soir !

Et pour Sébastien Giniaux, pas de commentaire ?

il y a toujours des trucs sur la capital, j'en deviens jaloux

Salut Gatsby,

alors non, je vais faire ma branchouillle technogeek : c'est pris avec mon iphone et l'app "instagram"... mais y'a aussi des apps polaroid qui marche bien, perso j'adore "Shake it Photo" qui est tres pola. Quelle branchitude, j'en ai presque honte.

et le Birelouille il jouait sur sa Selmer.

tiens, prends ça dans les dents, encore deux trois photos de la seconde soirée Djangodrom :









Et le gratos tout pourri du Métro qui s'y met lui aussi : Djangomania partout !

Merci Mario ! Purée, rien que dans cette photo il doit y en avoir au moins pour 4 millions de dollars de guitares !

Super Mario Maccaferri a écrit:

clic-clac, photo de famille après la denière :

Et le programme, signé par les zartisses :


Ouala, j'arrête