En réécoutant ce chef-d'oeuvre, je suis scotché des notes que Django va chercher sur son violon. Tout est pensé en motifs et en variations. A 0'42, par exemple, il crée une phrase, puis ressort la même directement après, mais en en modifiant deux ou trois notes. Quant à 0'50-51, ça va puiser dans les steppes d'Asie centrale... Quel voyage. A réécouter sans modération. Il y a de nombreuses années, vers les premières fois où j'avais écouté cet enregistrement, je me souviens m'être dit que ça sonnait d'une autre façon que Grappelli (je croyais alors que c'était lui au violon, et non Django), mais je n'arrivais pas vraiment à dire en quoi c'était différent.
Lien vers la vidéo