malik34 a écrit:Les deux
Acromégalie et chirurgie esthétique
Dans le cas des Bogdanov, l'acromégalie est génétique. Je soupçonne un lien de parenté avec une Almas: Zana.
Les almaslar sont des humanoïdes velus ayant été aperçus dans plusieurs régions de la Russie, du Caucase, et de l'Asie centrale. "Almas" est un mot mongol signifiant homme sauvage. C'est un mot singulier qui se conjugue "almaslar" au pluriel. Dans d'autres langues de la région, on les appelle Kaptar, Biaban-guli ou Abnauayu.
Cela s'est passé vers 1850, en Géorgie, dans les forêts du Mont Zaadan. Un groupe d'hommes, qui était parti à la chasse, a aperçu une femme sauvage qui semblait à la fois humaine et guenon. Elle était forte, trapue, et recouverte d'un pelage roux. Ils l'ont capturée avec beaucoup de difficulté.
Elle a changé de propriétaires plusieurs fois avant de se retrouver au village de T'khina, qui se trouve à 78 kilomètres de distance de la ville de Soukhoumi, dans la région de l'Abkhazie, en Géorgie. On lui donna alors le nom de Zana.
En 1964, le chercheur russe Boris Porshnev de l'Académie Scientifique de Moscou, a étudié l'histoire de Zana en se rendant sur place, dans le village de T'khina. Il a parlé à plusieurs personnes âgées qui affirmaient avoir connu Zana de son vivant, et avoir assisté à ses funérailles. Il a aussi rencontré certains de ses petits-enfants, et il a écrit cette anecdote:
"À l'instant où j'ai aperçus les petits-enfants de Zana, j'ai été frappé par leur peau sombre et leurs traits négroïdes. Shalikula, son petit-fils, avait des muscles de la mâchoire si puissant qu'il pouvait soulever, avec ses dents, une chaise sur laquelle un homme était assis."
Il a tenté, sans succès de retrouver la tombe et les restes de Zana. Ses collègues Dimitri Bayanov et Igor Bourtsev ont continué les recherches après lui, et ils ont déterré les reste du plus jeune fils de Zana, appelé Khwit Sabekia, qui a vécu de 1884 à 1954.
Bien que Khwit portait le nom de Sabekia, plusieurs villageois s'entendent pour dire que son père biologique était sans doute le propriétaire de Zana, Edgi Genaba.
Quatre enfants de Zana ont ainsi été élevés par des familles du village et ont survécu jusqu'à l'âge adulte, soit deux garçons (Dzhanda et Khwit Sabekia, nés en 1878 et 1884), et deux filles (Kodzhanar et Gamasa Sabekia, nées en 1880 et 1882). Bien qu'ils aient eu la peau foncée et qu'ils étaient particulièrement forts, les enfants de Zana n'était pas très différents des autres villageois. Ils étaient tous d'une intelligence normale. Ils n'ont pas eu de problème pour apprendre à parler ou à s'intégrer à la société, et ils ont eu à leur tour une descendance.
On dit que l'un de ses fils est devenu un pianiste accompli, l'autre est devenu mathématicien-physicien.
Pour ceux qui doutent encore, un prélèvement ADN des Bogdanov a été obtenu à l'insu de leur plein gré, révélant des gènes homologues à cette lignée ancestrale.